Centrales

[Head Turner]

Une époque où les centrales téléphonique avaient comme indicatif TURbigo MARcadet BAStille etc etc et pas des numéros

[Pachi]

Une époque où les centrales téléphonique avaient comme indicatif TURbigo MARcadet BAStille etc etc et pas des numéros
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J'imagine que TURbigo sera le préfixé identifiant des lignes en mille d'une centrale Rotary A7 déterminée pour le marqueur initial de 3 chiffres: TURbingo avec le 887, MARcadet 627, etc, obtenus a partir d'un disque alphanumérique de marquage par pouls avec le patron 1, 2 ABC, 3 DEF, 4 GHI, 5 JKL, 6 MNO, 7 PRS, 8 TUV, 9 WXY et 0 Z précédé par les appels d'autres zones hors Paris du préfixé identifiant de la zone téléphonique de Paris 01 ou 00.01 avec préfixé régional ou de zone téléphonique a part pour être énorme, plus grand qu'un département ou qu'une région.

Mais bon, je regarde sur la photo la date de 1979, et a cet an était déjà en introduction le système digital hybride TST (temporel-spatial-temporel), encore par relais dans l’étape spatial, des premières centrales AXE avec marquage par mix de fréquences. Avec les premiers pas des centrales digitales et les premiers "disparos" ou déclencheurs?(je ne connais pas le mot dans l'argot téléphonique français, c'est ce sorte de saut automatique écrit dans la base de données automatisée de la centrale digital d'ordre supérieur pour dévier un numéro avec le préfixé d'une centrale a une autre centrale avec un préfixé de marqueur différent, ou d'autre opérateur, a la requête d'un client qu’après de déménager de maison ou de local commercial ou de changer d’opérateur, il en veut rester avec le même numéro de téléphone sans changer rien, les 3 numéros de préfixé inclus), en peu de temps est fini obsolète et chaotique le système rigide des anciens préfixés téléphoniques des centrales.

PS: Quelle sacrée époque! Moi j’étais dans une centrale d'interconnexion de secteur urbain, seulement avec cordons de liaisons entre centrales du même ordre, d'ordre supérieur et inférieur, et je devais mémoriser le nom des Centrales urbaines de mon secteur avec son préfixé et le nom indicatif des autres centrales de secteur et d'ordre supérieur. Je me souviens encore de deux urbaines: DELICIAS 1ª, 2ª et 3ª 268 et PEÑUELAS 1ª 273, les deux Rotary A72, pendant que DELICIAS 4ª c'etait le 468 et pour PEÑUELAS 2ª le 473, les deux Pentaconta, dont critère de marqueur identifiant vient donnée par une succession numérique qu'informe sur la technologie de chaque centrale, un critère bien différent pour ce que je regarde du critère du PTT Français. Encore je garde le gros livre de tous les anciens préfixés et noms indicatifs des centrales espagnoles..., oublié par quelque part!

[JR]

AXE c'est les centraux Ericsson , En France on avait du Thomson MT20 et du Alcatel E10 Cocorico , achetez Francais

[Pachi]

Bon, ce n'est pas l'objet du sujet, mais j'ai continue ma profession dans l’époque digital comme technique du système Alcatel 1240, et un peu plus tard avec les premiers DSLAM Alcatel et après de tous les équipes Alcatel pour avoir un interface de software et un assemblage de hardware entre ses différentes systèmes en commun et partager tous une idiosyncrasie typique d'Alcatel qui m’était facile de comprendre pour être habitue a sa philosophie modulaire, sa configuration interne aussi comme a son langage et séquence d'ordres très similaires (au niveau de travailleur de champ.

Avec le devenir du temps, j'ai pu voir comme tous les fabricant occidentales et japonaises comme Marconi, Fujitsu, Ericsson, Siemens, Philips, Alcatel, Lucent, Nokia..., se sont dilues dans un tissu industriel unique pour pouvoir concourir contre Huawuei dans un groupe apatride d’entreprises que nous pourrons nommer comme Lucent-Alcatel-Nokia-Siemens. La seule exception par le moment semble être San FranCisco qui pour le peu que je sais il en est seul dans son secteur en concurrence contre Huawei sans avoir été intégré encore dans aucun tissu commercial.

[jean-pierre]

Ladeveze ,avait un magasin a Pantin ou on allait en mob admirer les motos ,c'est la que je suis tombé fan des Triumph , un peu plus loin il y avait Charrier ou j'ai vu les premières Commando

[Pachi]

Enfin je commence a comprendre l'objet du sujet après d'avoir vu l'ancienne publicité des distributeurs de motos qui toujours nous offraient une jolie histoire que raconter.

La publicité c’était idée pour informer de l'adresse du magasin, lequel avait des grandes présentoirs ou exposait les motos de nos rêves. Le magasin nous offrait un traitement personnelle et humain et toute l'information sur la moto de notre choix et la manière de financier l'achat. Je n'ai pas pu vivre cette époque, quand ce sorte de magasin encore existaient je n'avais rien d'argent et jamais je m'ai permis de traverser sa porte.

Mais indirectement j'ai pu partager les émotions de cette époque, quand j'avais acheté ma Montesa Impala aux années 90, avec son propriétaire donc il était très age et il ne voulait pas vendre la moto qu'il gardait avec soin pour l'offrir en cadeau a son petit-fils. C’était la moto de son rêve, mais son petit-fils avais mis un petit annonce de vente parce qu'il ne la voulait pas sinon une moto plus moderne qui pensait financier avec la vente de la moto de son grand-père. L'ancien se résistait à me vendre la moto, mais presse pour son petit-fils il avait cede sous la condition de me connaitre personnellement avant. Je dus me déplacer a un petit village de Burgos a 120 Km de Madrid pour nous connaitre en personne et après de lui répondre a ses plusieurs requêtes dans le bar du village, enfin il m'a montré la moto de son rêve qu'il gardait comme un bijou dans un endroit sec de son garage ou elle faisait un long rêve isolée du sol et sous plusieurs couches protectrices. Il m’a instruit sur leurs besoins d'entretien et il ma donne tous les papiers qu'il gardait: livre d'entretien, publicité de l’époque, tous les feuilles de payement du financement, accessoires, pièces de rechange, 100 ou plus petites boites d'huile de ricin qu'il accumulait des années 60, 70 et 80 pour faire la mélange avec l'essence, coupures de presse de l’époque et quelque photo qu'il gardait du jour qu'il l'avait achetée, donc a cette époque c’était l'habitude d'exposer dans le magasin en première place prés de la porte de sortie la moto qu'avait été vendue avant de la faire passer au petit atelier adjacent pour monter la plaque d'immatriculation et dessiner les numéros sur le garde boue d'avant avec l'acheteur pressent si c’était ça son désir. Vraiment on ne peux pas nier, qu'a l’époque, toujours on disposait du temps nécessaire pour nous offrir un traitement vendeur-acheteur très humain et personnalisé a fin que le jour de l'achat d'une moto soit un événement mémorable..., quand je pense a cela je pense que dans le cas de mon âgé propriétaire précédent dans le magasin lui avaient vendu, plus qu'une moto, un rêve. (dans le cercle rond bleu de la photo on envisage son reflet au moment qu'il avait pris la photo).



A 2012, par problèmes de budget, je dus vendre la Montesa a un grand ami, un grand collectionneur de motos qu'aussi connaissait son histoire et que peut être vous connaissez pour courir dans le circuit français de courses de motos classiques avec une Scott, ou une Dresda (et encore plus), après que j'avais prêté ma moto a le stand de Montesa a la Feria de Clasicauto de 2012 pour commémorer le 50 anniversaire du modele Impala, donc la mienne était original 100% et encore gardait collée sur le réservoir l'insigne du Delta de Oro des premières unités sorties de l'usine a 1962.

[guyader]

Merci Pachi pour cette tranche d' histoire, qui restitue la dimension humaine dans vos échanges autour de cet objet qu' était cette Impala.

A+,
Loïc.