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Quelques pistes : pour le point mort, on peut penser à pas assez de débrayage, à rattraper par la tension du cable.
Pour la fumée, c'est beaucoup plus vaste, ça va du joint de queue de soupape fuyard, aux segments mal tiercés ( et encore ), en passant par la suppuration d'huile via le conduit des tiges culbuteurs ( qui d'ailleurs fait pisser ta culasse sur l'avant... voilà voilà amuses-toi bien maintenant
Merci à vous pour lez réponses, pour le point mort je vais m'en sortir! Par contre pour la suppuration d'huile des conduits de tiges, là docteur, je n'ai pas tout compris
Pourrais- tu m'expliquer un peu plus le principe, et quel est le remède?
Eh bien, en fait l'huile redescend de la culasse par les conduits de tiges de culbuteurs, et suivant la qualité du joint et son étanchéité, surtout que c'est là qu'il est le moins large, ça peut suinter dedans et dehors.
LA solution ? Déjà être sûr du serrage de la culasse, après diverses solutions de pâtes à joint voire de fil dentaire suivant le type de joint de culasse.
Je vais vérifier le serrage de la culasse en premier lieu. Pour le reste, le joint est neuf (clingérite), et la culasse a eu un léger surfaçage. Les soupapes et guides sont neufs et ajustés pile-poil (ajustement glissant sans jeu!). Pour la pâte et le fil dentaire je suis moins convaincu
Pour le point mort je te vérifie que un bon cable venhil et un parcours tout droit du cable des le levier a la boite de vitesses c'est un remede miraculeux. Aussi comme choisir une bonne viscosité et une juste quantité de l'huile dans le primaire. Dans mon cas j'ai observe que se transfère une tres petite de quantité de valvoline de la boite de vitesses au carter primaire (peut être parce que la tige de l'embrayage faite de piston ou seringue), et je dois vidanger de parfois le carter primaire (qui déborde par le trou du vis de vidange quand j'oublie l'en faire de temps en temps avec un fort odeur a valvoline), et le ramplir avec d'huile moteur SAE 20-50.
Pour le dernier ensemble de problèmes dus a l'huile fuyard par tout soit-il entre les segments, les queues de valve ou les joints, une valve de surpression (reed valve), au sortie du reniflard c'est un remede aussi miraculeux quand on ne veut pas s'emmerder en déculasser.
Bon... sur le reed valve je l'en dis dans le cas qu'il n'y aie pas un grave problème d'usage dans les cylindres, pistons, segments ou dans la culasse ou meme dans le reniflard.
Le fil de cuivre très fin (ex : 1 fil de câble électrique de lampe de chevet ou de truc qui consomme peu) collé à la colle-contact autour des puits de tiges de culbu et du trou de redescente d'huile des 2 côtés du joint de culasse, ça marche. Le fil dentaire aussi on dirait mais je n'ai jamais essayé.
Au démontage de la culasse, on voit que ce fil s'est écrasé au serrage et a fait son empreinte dans le joint de culasse (en cuivre recuit dans mon cas).
Alors tu dois reprendre la procédure de réglage de la tige de poussée, comme décrit maintes fois .
Et comme le dit justement Pachi, bien choisir le trajet de la gaine, qui devrait être du Venhill pour mettre tous les atouts avec soi.
Culasse resserée, c'est quasi bon, à priori plus de fuite et moins de fumée bleue. Réglage de la butée, et magie je retrouve le point mort
Maintenant reste à voir le circuit de charge, cela n'a pas l'air violent!!
Suite pour ma fuite de joint de culasse...
Cela fuyait tout le temps, même après avoir ressérré , du coup je l'ai changé (le joint ) , et bien maintenant nickel!
Là je n'ai pas tout compris, à priori il n'était pas abîmé, mais ça pissait...
loe-nae a écrit : ↑20 nov. 2017, 10:32
Suite pour ma fuite de joint de culasse...
Cela fuyait tout le temps, même après avoir ressérré , du coup je l'ai changé (le joint ) , et bien maintenant nickel!
Là je n'ai pas tout compris, à priori il n'était pas abîmé, mais ça pissait...
pas inutile parfois de vérifier l'épaisseur de l'ancien. Parfois, l'écrasement n'est pas régulier ( longueur des vis à vérifier ainsi que le fait qu'elles peuvent buter en fond d'alésage...) Souvent, ça fuit aux passages de tiges de culbuteurs, ne pas hésiter à mettre de la "pâte qui pue"...
PPat