Re: Laquelle choisir ?!...
Publié : 08 févr. 2015, 18:34
Ramon a raison, c'est dans sa tête qu'il faut être prêt à rouler avec un engin avec lequel il faut tout oublier de ses expériences antérieures, sauf les avoir vécues dans sa jeunesse pour les plus anciens.
Déjà il faut avoir certaines connaissances pour ne pas avoir à galérer trop souvent, l'incident mécanique faisant partie des "plaisirs" inhérents à engin datant de 60 à 40 ans d'âge et souvent de 80 ans quant à sa conception.
Mis à part trouver un engin complètement remis à neuf par quelqu'un de confiance, et qui donnera les points à surveiller pour assurer une fiabilité acceptable, c'est complètement illusoire de penser que l'on va "tailler la route" avec un mono de 500 ou 350 cc acheté via des petites annonces, même hors de prix....
Le mieux, si l'on est patient, c'est de trouver une machine complète mais à restaurer, soi même, grâce à ses petites mains ! ainsi on va connaitre sa machine dans les moindres détails et être ensuite paré à toute éventualité durant ses pérégrinations routières.
Déjà voir la disponibilité des pièces sur le modèle que l'on a choisi, leur tarif, certains engins ont des pièces tellement particulières qu'elles sont hors de prix et leur disponibilité aléatoire suivant les dates des lots de refabrication, avoir un copain tourneur fraiseur est aussi une bonne chose
voir si il y a un club ACTIF pour ces machines, le club peut être d'une aide essentielle.
Pour démarrer avec un mono, si l'on n'a pas de connaissances particulières, je choisirais une Royal Enfield, même des années 50, les pièces sont disponibles, pas chères, faire la mécanique là dessus est d'une simplicité infantile et c'est assez fiable si correctement entretenu.
Les pièces mécaniques pour les autres monos anglais sont devenues rares, chères
Quant au plaisir que l'on a à rouler avec de telles motos, c'est spécial, de toute façon si l'on est mordu on prend plaisir avec n'importe quoi qui a deux roues et un moteur, le tout est de savoir s'adapter, de faire ses itinéraires en fonction de l'engin que l'on chevauche, d'accepter les galères éventuelles.
A force d'accompagner ces irréductibles qui roulent en mono souvent d'avant guerre, j'ai compris leur plaisir, parce qu'en roulant avec eux, même avec une superbike moderne, et ben je ne me suis jamais emmerdé à les suivre. Et depuis que je roule avec la Matchless G80 (trop moderne selon Ramon, il lui manque une trentaine d'années selon lui pour que je découvre le VRAI plaisir
) je sais que la prochaine étape sera une vraie avant guerre !
Et pourtant le garage est plein d'engins qui marchent plutôt fort.
Déjà il faut avoir certaines connaissances pour ne pas avoir à galérer trop souvent, l'incident mécanique faisant partie des "plaisirs" inhérents à engin datant de 60 à 40 ans d'âge et souvent de 80 ans quant à sa conception.
Mis à part trouver un engin complètement remis à neuf par quelqu'un de confiance, et qui donnera les points à surveiller pour assurer une fiabilité acceptable, c'est complètement illusoire de penser que l'on va "tailler la route" avec un mono de 500 ou 350 cc acheté via des petites annonces, même hors de prix....
Le mieux, si l'on est patient, c'est de trouver une machine complète mais à restaurer, soi même, grâce à ses petites mains ! ainsi on va connaitre sa machine dans les moindres détails et être ensuite paré à toute éventualité durant ses pérégrinations routières.
Déjà voir la disponibilité des pièces sur le modèle que l'on a choisi, leur tarif, certains engins ont des pièces tellement particulières qu'elles sont hors de prix et leur disponibilité aléatoire suivant les dates des lots de refabrication, avoir un copain tourneur fraiseur est aussi une bonne chose

voir si il y a un club ACTIF pour ces machines, le club peut être d'une aide essentielle.
Pour démarrer avec un mono, si l'on n'a pas de connaissances particulières, je choisirais une Royal Enfield, même des années 50, les pièces sont disponibles, pas chères, faire la mécanique là dessus est d'une simplicité infantile et c'est assez fiable si correctement entretenu.
Les pièces mécaniques pour les autres monos anglais sont devenues rares, chères
Quant au plaisir que l'on a à rouler avec de telles motos, c'est spécial, de toute façon si l'on est mordu on prend plaisir avec n'importe quoi qui a deux roues et un moteur, le tout est de savoir s'adapter, de faire ses itinéraires en fonction de l'engin que l'on chevauche, d'accepter les galères éventuelles.
A force d'accompagner ces irréductibles qui roulent en mono souvent d'avant guerre, j'ai compris leur plaisir, parce qu'en roulant avec eux, même avec une superbike moderne, et ben je ne me suis jamais emmerdé à les suivre. Et depuis que je roule avec la Matchless G80 (trop moderne selon Ramon, il lui manque une trentaine d'années selon lui pour que je découvre le VRAI plaisir


Et pourtant le garage est plein d'engins qui marchent plutôt fort.