Re: pourquoi les Anglaises ? sujet a paul & Mick ?
Publié : 28 mai 2015, 19:16
Les Suisses ne sont pas des gens normaux, à part Jeff bien sûr !
Dans mon cas, c'est une histoire de famille: je suis le petit dernier de la fratrie, avec 5 et 6 ans de différence avec les frangins.
Leurs débuts motorisés avaient pour noms AMC, Peugeot, Motoconfort, cylindrée maxi 175.
Et j'ai assisté à leurs nombreuses séances de mécanique pour rouler un peu, le système D pour faire avancer ces étrons déjà vieux quand ils arrivaient à la maison.
Et puis un jour, ils ont décidé de monter à la capitale ( donc à Bordeaux) après avoir cassé la tirelire commune dans le but de revenir avec une moto, une vraie. Mais quoi ?
Sont donc partis en train avec chacun un casque sous le bras...
Et j'ai attendu toute la journée de les entendre revenir, ne sachant ce que ça allait être...
Eux non plus avant de partir !
En fin d'après midi, un bruit très différent de ce que j'entendais habituellement est apparu à mes oreilles.
Et cet engin est entré sur l'allée, et au ralenti un son pour moi inconnu, et une taille de moto
toute aussi inconnue. Des pots qui soufflaient vraiment, une roue avant qui bougeait au ralenti, une odeur (de chaud c'est sûr..) différente.... Une selle large et longue, du chrome...
Ils auraient pu arriver avec une Diepnr ou une BM ou une Guzzi ça m'aurait peut-être fait le même effet, je ne sais pas.
Mais le moment de l'essai étant arrivé, je ne me suis pas fait prier pour prendre place derrière l'un d'eux. Essai tout en sécurité sans casque, en culottes courtes....
Mon frère m'a dit alors que nous prenions la route entre Bazas et Beaulac, « accroche-toi quand je passerai la troisième ». Et là, je suis entré dans une autre dimension, comme l'équipage de l'Enterprise quand le vaisseau passe en vitesse exponentielle...
C'est là que le vaccin venin a agi...
A 12 ou 13 ans, ça pardonne pas.
La moto était une Norton 88. Puis il y a eu l'Atlas.
Dans mon cas, c'est une histoire de famille: je suis le petit dernier de la fratrie, avec 5 et 6 ans de différence avec les frangins.
Leurs débuts motorisés avaient pour noms AMC, Peugeot, Motoconfort, cylindrée maxi 175.
Et j'ai assisté à leurs nombreuses séances de mécanique pour rouler un peu, le système D pour faire avancer ces étrons déjà vieux quand ils arrivaient à la maison.
Et puis un jour, ils ont décidé de monter à la capitale ( donc à Bordeaux) après avoir cassé la tirelire commune dans le but de revenir avec une moto, une vraie. Mais quoi ?
Sont donc partis en train avec chacun un casque sous le bras...
Et j'ai attendu toute la journée de les entendre revenir, ne sachant ce que ça allait être...
Eux non plus avant de partir !
En fin d'après midi, un bruit très différent de ce que j'entendais habituellement est apparu à mes oreilles.
Et cet engin est entré sur l'allée, et au ralenti un son pour moi inconnu, et une taille de moto
toute aussi inconnue. Des pots qui soufflaient vraiment, une roue avant qui bougeait au ralenti, une odeur (de chaud c'est sûr..) différente.... Une selle large et longue, du chrome...
Ils auraient pu arriver avec une Diepnr ou une BM ou une Guzzi ça m'aurait peut-être fait le même effet, je ne sais pas.
Mais le moment de l'essai étant arrivé, je ne me suis pas fait prier pour prendre place derrière l'un d'eux. Essai tout en sécurité sans casque, en culottes courtes....
Mon frère m'a dit alors que nous prenions la route entre Bazas et Beaulac, « accroche-toi quand je passerai la troisième ». Et là, je suis entré dans une autre dimension, comme l'équipage de l'Enterprise quand le vaisseau passe en vitesse exponentielle...
C'est là que le vaccin venin a agi...
A 12 ou 13 ans, ça pardonne pas.
La moto était une Norton 88. Puis il y a eu l'Atlas.