Une 500 t100c, naissance d’un moral de fonte
Publié : 13 juin 2019, 18:50
Bonjour
Tout a commencé pour moi il y a 29 ans, j’ai passé le permis puis me suis offert ma premiere monture
à la hauteur de mes finances une petite trail 125 suzuki.
Assez rapidement mes lectures m’ont conduit à m’interesser aux plus anciennes: j’ai revendu la petite bleue pour acheter une grosse bleue, une Bmw R60/6, deux quintaux , 40 chevaux en furie
et des tambours pour tenter de freiner l’ensemble...que de jolis souvenirs des cols corses en plein été , chargé , à deux
.
L’exotisme bavarois a ses limites, je me suis orienté vers une monture indigène , une 350 Motobecane, 3 cylindres deux temps: vendue comme neuve ( 20 ans apres) mais partiellement demontee, les pneus etaient bien d’origine et n’assurait que le moment minimum d’adherence sous la pluie. J’avais entendu dire que la pompe à huile du graissage séparé pouvait coincer alorspas de souci je roulais au melange, un reservoir souple l’huile au fond et le tour est joué!! Bon il est vrai que c’etait riche.
La locale vendue a un amateur , je craque pour le charme transalpin, une 750 ss de 1995, une bien belle histoire 65000 km partagés avec passion, l’histoire prend fin 15 ans plus tard lorsque n’ayant plus le temps ni plus vraiment l’envie de rouler je prefere ceder la belle que la voir s’abimer.
Après une petite passade avec un mono autrichien que je ne regrette pas je finis par craquer pour
l’anglaise, celà fait plusieurs décennies que j’en rêve et je ne suis pas décu!!
Une 500 t100c de 1968 mais immatriculée en 1967, ah ça commence...
Je sais désormais que patience se dit Triumph en anglais, c’est un chemin initiatique...combien de recherches pour trouver la taille de la douille nécessaire à desserrer tel écrou...
Je viens de finir de lire les 74 pages de discussion de la restauration de Luc, très instructif mais pour le moment un peu ardu pour moi, le moteur attendra. Il tourne bien et démarre au premier coup de kick.
J’en suis aux joints spy de fourche et je tente l’adaptation d’un embrayage Bob Newby...un poème, mais, je ne suis pas déçu , j’ai ma british , elle est à la hauteur de sa réputation, du caractère et pas mal d’excentricité !!
Etienne
Tout a commencé pour moi il y a 29 ans, j’ai passé le permis puis me suis offert ma premiere monture
à la hauteur de mes finances une petite trail 125 suzuki.
Assez rapidement mes lectures m’ont conduit à m’interesser aux plus anciennes: j’ai revendu la petite bleue pour acheter une grosse bleue, une Bmw R60/6, deux quintaux , 40 chevaux en furie
et des tambours pour tenter de freiner l’ensemble...que de jolis souvenirs des cols corses en plein été , chargé , à deux
L’exotisme bavarois a ses limites, je me suis orienté vers une monture indigène , une 350 Motobecane, 3 cylindres deux temps: vendue comme neuve ( 20 ans apres) mais partiellement demontee, les pneus etaient bien d’origine et n’assurait que le moment minimum d’adherence sous la pluie. J’avais entendu dire que la pompe à huile du graissage séparé pouvait coincer alorspas de souci je roulais au melange, un reservoir souple l’huile au fond et le tour est joué!! Bon il est vrai que c’etait riche.
La locale vendue a un amateur , je craque pour le charme transalpin, une 750 ss de 1995, une bien belle histoire 65000 km partagés avec passion, l’histoire prend fin 15 ans plus tard lorsque n’ayant plus le temps ni plus vraiment l’envie de rouler je prefere ceder la belle que la voir s’abimer.
Après une petite passade avec un mono autrichien que je ne regrette pas je finis par craquer pour
l’anglaise, celà fait plusieurs décennies que j’en rêve et je ne suis pas décu!!
Une 500 t100c de 1968 mais immatriculée en 1967, ah ça commence...
Je sais désormais que patience se dit Triumph en anglais, c’est un chemin initiatique...combien de recherches pour trouver la taille de la douille nécessaire à desserrer tel écrou...
Je viens de finir de lire les 74 pages de discussion de la restauration de Luc, très instructif mais pour le moment un peu ardu pour moi, le moteur attendra. Il tourne bien et démarre au premier coup de kick.
J’en suis aux joints spy de fourche et je tente l’adaptation d’un embrayage Bob Newby...un poème, mais, je ne suis pas déçu , j’ai ma british , elle est à la hauteur de sa réputation, du caractère et pas mal d’excentricité !!
Etienne