Le TRITON de Jacques

 En quelques mots, je viens vous présenter mon Triton et le parcours très simple que nous avons fait ensemble.

 

Depuis les années soixante, je roulais en Japonaises, mais j’avais un regard sur les anciennes car tous mes copains avaient des anglaises et je bavais devant. Par l’intermédiaire d’un copain qui roulait en Norton et qui était passionné de machines anciennes, (il avait d’ailleurs une superbe collection de Terrot) j’ai eu l’opportunité d’acheter cette machine en 1986.

 

Le cadre est de 51 et le moteur de 65.

 

Le moteur était bien malade, je l’ai alors fait refaire complètement ( en 91) par un professionnel fou d’anglaises qui ne travaillait que la nuit car la journée, il ne faisait que discuter avec ses clients !

 

Par la suite, je roulais épisodiquement, ne faisant que des petits parcours car la moto tombait très souvent en panne. Je la bâchais, la bichonnait, elle brillait, mais ne faisait pas beaucoup de route.

 

 

Dès que j’ai été branché sur le net, j’ai pris contact avec le club Triton dont je suis devenu membre. Dans leur programme de sorties, il y en avait une qui se trouvait en Ardèche pas très loin de chez moi.

 

J’ai donc fait connaissance à ce moment – là avec l’A.M.C. J’étais emballé par ce rassemblement, c’était en 2002, j’étais comme un fou et ne tenais plus en place.

 

 

 Le club a accepté ma candidature. Depuis, je fais toutes les sorties avec eux sans problème. lls m’ont fiabilisé la moto avec laquelle je roule maintenant en toute confiance.

 

Je tiens d’ailleurs à les remercier (pour les bringues aussi !), car, sinon, ma moto serait encore au garage sous une bâche que je retirerais de temps en temps pour l’admirer !

 

Depuis, que je suis dans le club, j’ai fait quatorze mille kilomètres qui n’étaient que du bonheur, malgré des pannes mineures qui ne m’ont jamais laissé sur le bord de la route sauf une fois (tige de culbu de chez Unity, pétée).

 

 

 

Dans le club, les femmes roulant toutes avec leur machine, j’ai alors décidé d’en trouver une à ma femme, d’où la Daytona d’Annie. Il m’a fallu tout de même attendre 18 ans pour pouvoir vraiment profiter de mon anglaise…. et ça ne fait que commencer ….!

 

 

…..ON THE ROAD AGAIN AND AGAIN !!!!

 

Jacques

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