
Mais j'ai pas saisi pour les anglais...?
Modérateurs : Pachi, gigi, Tricati, Bertrand, rickman, Yeti
ça me fait penser à ce sketch d'Isabeau De R, Joséphine - Le Jardinage
je crois que c'est Louis quatorze qui dit un jour a son fou qui l'excedait, pour lui fermer son clapet :"je veux que tu m'insultes et qu'en t'excusant,tu m'insultes davantage."razblanchard a écrit : ↑27 avr. 2020, 14:30 Petite contribution :
À un amiral britannique qui prétendait « Vous, les Français, vous vous battez pour l’argent ; nous, les Anglais, nous nous battons pour l'honneur ! », le corsaire Robert Surcouf de lui répondre : « Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas ! ».
Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques anglais du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich dit au réformiste John Wilkes « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis » et Wilkes de lui rétorquer : « Cela dépend, Monsieur, si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse ».
Lady Astor apostrophe un jour Sir Winston Churchill « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! » ; ce dernier de lui répliquer : « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! ».
Cindy Crawford dit à Amanda Lear lors d'un cocktail : « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? » ; Amanda Lear de lui répondre « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais, dites-moi, qui vous l'a lu ? ».
Le Prince de Conti était fort laid. Aussi son épouse le trompait-elle sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence » et celle-ci de lui répondre « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »
Sir Winston Churchill fit un jour la remarque suivante à George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à lui de forte corpulence) « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. » et son ami de lui rétorquer « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »
Lors d'une visite au palais de Blenheim (demeure ancestrale de la famille Churchill), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Sir Winston Churchill qui n'était pas réputé pour son progressisme sur le sujet. Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria : « Winston, si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! et Sir Winston Churchill de lui répliquer « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! ».
Au cours d’une promenade dans un cimetière, Sacha Guitry déclare galamment à Yvonne Printemps, « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide ! ». Et son épouse du moment, de lui lancer « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide ! »
Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, alors professeur, jette à François PERIER, jeune élève : « Si Molière voit comment tu interprètes Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe » et François Perier de lui répondre sur le même ton « Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place. »
Anna Tyskiewicz qui sera plus connue sous le nom de comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent que le prince de Talleyrand avait remarqué. Un jour, elle s'avisa de lui demander « Comment allez-vous, Prince ? » ; il lui répondit « Comme vous voyez, Madame. » .
« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’épouse du prince Maréchal Louis-François de Boufflers après qu’il fut décédé. « Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits. » répliqua-t-elle.
« Monsieur de RIVAROL, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre. « Pourquoi vous en donnerais-je, Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ? »
À la fin d'un dîner organisé par Sir Winston Churchill, le maître d’hôtel présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare « C’est pour la route. » ; son hôte lui rétorque « Merci d’être venu d’aussi loin. »