Ici nous parlons de motos anglaises classiques.
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C'est rigolo ,on a vraiment des démarches communes , et Christian, quand tu rentrais au pays avec une Tiger, pour remplacer mon Starfire, j'achetais au même moment une Bonnie complètement rincée et bidouillée de partout , et cher , en plus ...mais elle avait des bracelets et des leviers Tomaselli ...
Mais le rêve c'était la Veloce , ou le B50 ...maintenant, je suis grand , j'ai les deux !!
Moi je suis né en hiver 82....et depuis je baigne dans le monde de la moto, j'ai été bercé en écoutant les histoires "légendes??" de Norton et autres Vélocette bravant le froid et la neige d'Allemagne, les forêt sombres du Luxembourg, la pluie d'Ecosse, les bières Belges.....
Alors forcément quand j'ai franchi le pas...ma première fut mon B33
J'ai commencé à aimer les motos anglaises au lycée vers 1972, en entendant démarrer une BSA B44 qu'un élève garait sous un préau. Il a eu ensuite une Bonneville qui me faisait le même effet.
Au départ, c'était le bruit qui m'attirait, ensuite l'esthétique de ces engins. Quand j'ai pu essayer la Lightning d'un copain, j'ai été emballé par le couple du moteur.
J'ai roulé ensuite un peu en japonaise, avant d'aller faire un tour au garage du Canal tenu par un certain Marc Raymondin et ai craqué pour une BSA A10 en 1977.
C'est comme cela que ça a commencé et que ce n'est toujours pas terminé, pourvu que ça dure longtemps encore.
Ben moi c'est simple: en 1969, je suis allé voir une course de côte à côté de chez moi, en Suisse donc, et j'ai vu ma première Egli- Vincent, j'avais 16 ans. Ca a mijoté quelques années dans ma tête et vers 25 ans, quelqu'un m'a appelé en me disant:
- Dites, j'ai une vieille maison que je vais transformer, dans laquelle il y a 2 vieilles motos, vous les voulez? Si vous ne les prenez pas, je les jette à la ferraille. Je suis allé voir, c'est une Vincent et une Norton Inter de 1936. J'ai tout emporté, mon frère a pris la Norton (et la vendue entretemps) mais j'ai toujours la Vincent avec laquelle j'allais travailler tous les jours à cette époque. Je la roule actuellement régulièrement autour de chez moi.
Ensuite une autre personne m'a appelé avec la même question mais cette fois c'était une Gold Star de 1961 que j'ai gardée pendant environ 20 ans.
Depuis cette époque, j'ai toujours roulé en anglaises (jamais de chinoiserie, juste 2 italiennes en parallèle des anglaises), j'ai été contaminé à vie.
Moi aussi, j'ai de la chance, on vient de me proposer un solex...
Il est abandonné dans une cave cadenassé à un pneu de bagnole. Ca fait moins rêver, c'est sur, mais bon... Peut être que dans quelques années, on me demandera sur un forum pourquoi je roule en Solex...
jeff ch a écrit :Ben moi c'est simple: en 1969, je suis allé voir une course de côte à côté de chez moi, en Suisse donc, et j'ai vu ma première Egli- Vincent, j'avais 16 ans. Ca a mijoté quelques années dans ma tête et vers 25 ans, quelqu'un m'a appelé en me disant:
- Dites, j'ai une vieille maison que je vais transformer, dans laquelle il y a 2 vieilles motos, vous les voulez? Si vous ne les prenez pas, je les jette à la ferraille. Je suis allé voir, c'est une Vincent et une Norton Inter de 1936. J'ai tout emporté, mon frère a pris la Norton (et la vendue entretemps) mais j'ai toujours la Vincent avec laquelle j'allais travailler tous les jours à cette époque. Je la roule actuellement régulièrement autour de chez moi.
Ensuite une autre personne m'a appelé avec la même question mais cette fois c'était une Gold Star de 1961 que j'ai gardée pendant environ 20 ans.
Depuis cette époque, j'ai toujours roulé en anglaises (jamais de chinoiserie, juste 2 italiennes en parallèle des anglaises), j'ai été contaminé à vie.
Jeff
On m'a également appelé un jour de 1975...
Elle était noir aussi...
Je suis donc revenu avec une 125 Terrot ETM de 1955 pour la modique somme de 100_FF, que j'ai toujours... (La moto, pas les 100_FF)
C'est presque la même histoire que JEFF...