Très belle balade dans l'Eure-et-Loir...Rencontre sympas avec Nikko, son fils (en passager) et sa T120 bleue de 1965, venus de plus loin que moi.
Le musée est modeste, mais il y a quelques belles machines (photos à suivre) que certains connaissent déjà. Et le tout avec un temps type été indien...
Nikko me disait qu'en Norton on ne s'ennuie jamais (je pense que c'était un peu ironique...

), mais c'est vrai. En repartant, après quelques kilomètres de petites routes à petit train, j'entends des bruits de quincaillerie pas ordinaires, qui s'arrêtent à l'arrêt, moteur en marche....? En roulant, je regarde partout, devant, derrière (j'ai pensé à la plaque d'immatriculation...ou à l'arceau de maintien passager...), sur les côtés (j'ai pensé au collier de serrage des pots...), rien d'anormal. Le bruit est de plus en plus présent, donc je m'arrête, sur la latérale...Et je me recule d'un mètre.
Là

je vois ça :
La jambe droite de la béquille centrale qui traine par terre ! Donc le bruit de quincaillerie depuis quelques kilomètres, c'était ça (Ca a du faire quelques étincelles sur la route !)
La jambe droite s'est coupée du tube horzontal de la béquille centrale. La jambe gauche tenait encore à peu près grâce au ressort principal, encore fixé, mais l'ensemble rabaissé de 2-3 cm vers le bas.
Avec un peu de fil de fer (dans ma trousse de survie Norton), je refixe le tout arraché au cadre, et retour à petit train (prendre l'angle étant interdit !)
Bon, décidemment, on n'a jamais fini avec les vibrations destructrices de nos twins...

Mais une fois de plus, la Commando m'a toujours ramené à la maison...
Me reste plus qu'à trouver une béquille (et ressorts !) neuve...