Ton horloger m'a fait me souvenir l'histoire plus onirique et surréaliste que j'en eu sur une moto.
Il était une fois, dans ces temps ou mon ventre n’était pas grande et je m'habillait un blouson noir qui reste accroche dans le fond mon armoire depuis des temps immémoriales...
Après rendre visite et manger chez un bon ami d'Eibar, j' échangeait avec lui par quelques jours ma Ducati Road 350 par son Ossa Copa F3 250.
Des le premier moment après de démarrer cette moto, dans le voyage de retour chez mes beaux-pères a Bermeo, je sentais une espèce d'abstrait pouce métamorphosée en grillon-sauterelle sur mon oreille, que dans ces moments je pensait qui m’avertit de façon imperceptible sur le devenir du temps flasque et de l'espace négative.
Quelle sensation de rouler sur routes d'ellipses infinies entre collines en disproportion d'or avec l'illusion d'avoir la mer de visière et le ciel de sac au dos.
Ah! La vie c'est comme ça!
Quand a la fin avec beaucoup de peine j'avais fini par réussir mon voyage de retour sur l’infini... juste dans le moment quand je posai mes pieds par terre, je m'aperçus que la roue d'avant et la fourche étaient montées de l'autre coté ainsi que la prise du vélocimètre et pour tant c’était normal que l'horloge marchait a l’inverse... et pas moi sur le mystérieux trompe-l’œil de la fausse entropie du temps qui passe en passé.
PS: ... il faut dire que le Patxaran maison mon ami c'est fabuleux et, peut être, qu'en plus l’inversion de la roue et le dysfonctionnement du vélocimètre, qu'il en aie contribué quand même un peu!