Ici nous parlons de motos anglaises classiques.
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Je suis depuis 8 jours à 1300 m d'altitude avec ma Triton , nous avons un grand garage atelier rien que pour Elle mais elle est passée de plus 17 à 0 degrés voir moins deux ! Ce n'est pas du tout humide et elle est recouverte de plusieurs " couches " de divers toiles ; pas de neige je vous rassure bien qu'il y en est 1,50m sur le toit . C'est pas demain que l'on va user le bitume !
Le problème qui pourrait se poser c'est le démarrage , Elle est au régime Castrol minérale 50 , tout çà va-être relativement frais , quels conseils notamment de la Belle Province … habitué des rigueurs hivernales ?
Je vous sent arrivés " dans le lit avec toi " mais il faut monter un escalier !
Y foutre le feu avant de démarrer !
Mais vôtre expérience et conseils me seront utiles .
Merci
C'est quoi ta question JC? Tu te demandes comment on démarre une moto en dessous de 10°C?
Mes bécanes ne sont qu'à 500m d'altitude, dans une grange au sec mais sans chauffage. Même par grand froid dehors, la température est ne descend pas en dessous de 5°C. Alors comment que je fais ?
1- ouvrir l'essence
2- titiller jusqu'à ce que ca déborde
3- kicker franchement mais sans brutalité.
En fait, c'est pareil qu'à 30°C mais il fait moins chaud...
La Hiaute a écrit : ↑11 mars 2020, 10:48...Le problème qui pourrait se poser c'est le démarrage ...
À la Cosaque, comme pour démarrer les Yaks en hiver ;
- vidanger la veille à chaud,
- chauffer l'huile le matin dans une galetouse,
- un bon coup de lampe à souder sur le berlingue (essence coupée),
- remettre l'huile bouillante,
-ouvrir l'essence et dégommer par trois tours d'hélice;
et ça part au premier coup de manivelle.
Pouyade, Normandie Niemen
Et puis un petit décollage d'embrayage aussi, avant le grand coup de tatane. Et si le bas moteur a fait le plein d'huile (nooon, pas sur une Triumph !!!), ça va se sentir au premier coup de kick. Il y a beaucoup plus d'inertie.
Par contre, c'est plus l'ajustement des carbu vi à vis de l'altitude qui vaudrait le coup d'être surveillé. Sans parler de la pollution vers là-bas. Mais pas au point de ne pas démarrer.
Comme à Stalingrad.... Une flaque de gasoil sous le réservoir, un chiffon enflammé dans la flaque et hop ... plus de souci!
Mais si ça descend pas en dessous de zéro, le démarrage ne devrait pas poser de problème. J'ai bien démarré ma T140 par -12°c (OK, c'est pas ce que j'ai fait de plus malin, mais ça a marché)
La Hiaute a écrit : ↑11 mars 2020, 10:48...Le problème qui pourrait se poser c'est le démarrage ...
À la Cosaque, comme pour démarrer les Yaks en hiver ...
Pouyade, Normandie Niemen
Ah, Pierre Pouyade dit "Pepito", Roland De la Poype, Kostia Feldzer, Igor Eichenbaum et le général Zakharov... toute une époque !
En 1993, je suis monté dans un Yak 52, mais c'était l'été, au-dessus d'Omsk... pas besoin de chauffer : une bonne poussée sur l'hélice et davaï, en avant la musique ! Neuf cylindres en étoile, ça pousse !
Le barbu qui rigole à l'arrière, c'est mézig... devant, le pilote, c'est Karim, un Tatar complètement barge, ancien de la campagne d'Afghanistan.
Au deuxième tonneau, après la descente en piqué suivi d'une vrille et la ressource gaz à donf, collé au fond du slip, je rigolais déjà moins !
Ouais, y'a pire que les anglaises classiques d'avant 1983 après Jean-Christophe :
En 2001, quelque-part entre Irkoutsk et le lac Baïkal...
Entre mes doigts, la platine d'avance à l'allumage et le porte-rupteur qu'il a fallu dégripper à l'huile de vidange.
Et pas de Dr Yao Kouadio Albert dans les parages !
Ouais, y'a pire que les anglaises classiques d'avant 1983 après Jean-Christophe :
En 2001, quelque-part entre Irkoutsk et le lac Baïkal...
Entre mes doigts, la platine d'avance à l'allumage et le porte-rupteur qu'il a fallu dégripper à l'huile de vidange.
Et pas de Dr Yao Kouadio Albert dans les parages !