Elmo, vérifie le petit poussoir noir qui appuie contre la plaque et traverse le corps pour pousser la lame mobile du rupteur. Il s'agit d'un petit cylindre noir avec une petite base (qui forme une petite L), plat qui s’appuie contre la plaque: vérifie que la base n'est pas cassée. Si ce petit poussoir est endommagé, ou son base tres usée, sera très difficile de régler la mise au point de l'allumage.
elmo a écrit : ↑14 févr. 2022, 08:23
Je n'ai visiblement pas bien compris le principe de la magnéto (notamment pourquoi le contact reste ouvert si longtemps). J'enquête.
PS: Je vais essayer de t'expliquer quelque chose si simple des magnétos que j'arrive a comprendre.
La magnéto a un rotor avec un bobinage de baisse sur lequel s'enroule un bobinage HT (c'est un générateur de courant et un transformateur HT en même temps, ou si tu veux, une dynamo et une bobine HT en même temps). Les deux bobinages sont dans un cylindre métallique avec deux fenêtres pour blinder le champ magnétique des aimants permanents de l’intérieur de la carcasse de la magnéto qui entourent le rotor... sauf par l'endroit ou il y son places les deux fenêtres (bien sûr), qui permet l'induction du champ magnétique seulement sur la bobine de baisse (qui c'est la seule bobine qui ferme son circuit a travers son rupteur, la bobine HT reste toujours avec son circuit ouvert et pourtant, selon la loi de Faraday, la champ magnétique n'y induit pas aucun courant), parce que une magnéto ne doit générer pas de façon permanente un courant pour un faisceau électrique, sinon de générer par un bref moment une courant sur la bobine de baisse pour induire sur la bobine HT un haut voltage sufissant comme pour faire sauter une puissante étincelle entre les électrodes de la bougie
Le rotor tourne dans un champ magnétique avec un pole positif et autre négatif de ici vient la raison que son blindage aie au moins 1 fenêtre donc il ne nous intéresse profiter en tout moment tout le champ magnétique sinon seulement quand il en est sous le point de maxime puissance du pole négatif.
La fenêtré qui nous permet profiter dans un bref moment le point de maxime champ magnétique sur la bobine de baisse doit se positionner dans un angle optimal du pole négatif (négatif c'est pour que l’étincelle saute de la bougie a la masse et non a l’inverse), qui doit concorder juste dans le moment de la rupture du circuit (ouverture du rupteur), de la bobine de baisse pour induire dans la bobine HT une forte courant vers la bougie. Le rupteur se ferme quand un encadrement de la fenêtre a commencé a passer sous le champ magnétique du pole négatif, et le rupteur s'ouvre quand l'encadrement de l'autre cote de la fenêtre passe juste un petit poil avant du point de maxime champ magnétique du pole négatif.
La raison de pratiquer 2 fenêtrés sur le blindage vient parce que le rotor peut tourner a droit ou a gauche et le positionnement et encadrement des fenêtres ne sont parfaitement symétriques (par rapport les pôles sont un peu déplacées), et varie en fonction que le rotor tourne a gauche ou a droite. Tres possiblement autre raison serait par une question pratique d’économie de production donc le même rotor sert pour un monocylindrique ou un bi-cylindrique, et pratiquer deux fenêtres (en fois d'une seule pour les monocylindriques), a part que simplifie la production, economise les matériaux parce que un trou c'est assez moins cher que le remplir de métal.
Le rupteur ne doit que rester ferme pendent le petit moment précis de charger la bobine de baisse quand l'ouverture de sa fenêtre passe sous le champ magnétique du pole négatif. Le rupteur s'ouvre sur le point de maxime champ magnétique négatif (si tu fais tourner le rotor a main tu verras qu'il y a un point de resistance a la rotation ou on y doit faire plus d'effort). Le rupteur reste ferme pendent que la fenêtre passe par un champ magnétique qui augmente, le rupteur s'ouvre quand le champ magnétique augmente et la fenêtre finit juste d'arriver un petit poil avant d'arriver a la maxime puissance du champ magnétique, de cette maniéré le blindage du corps évite interférences magnétiques d'un champ magnétique qui commence a descendre, a fin d'avoir une étincelle le plus puissante et nette possible (on peut dire que chaque fenêtre s'occupe de l'angle dwell nécessaire pour faire l'amorçage de courant induite suffisant de la bobine de baisse et que le rupteur seulement ferme le circuit de la bobine de baisse quand la fenêtre passe sous le pole négatif, et c'est seulement au moment qu'il ouvre le circuit quand sa fonction est important et indispensable pour varier l'avance de l'allumage le reste du temps que reste ferme c'est soumis a l'angle d’ouverture de la fenêtre du rotor et quand il en reste ouvert c'est parce que n'est pas nécessaire parce que le blindage magnétique du rotor passe sous le pole négatif ou bien parce que la fenêtre par rapport laquelle le rupteur est soumis passe sous le pole positif et ne permets pas amorcer la bobine de baisse, pareil pour l'autre fenêtre contraire laquelle ne nous intéresse pas sur un moteur monocylindrique et qui est en trop dans ce cas-ci )