Les motos anglaises d'avant 1983

Oui les mesures de distances.....

Un jour en allant de Paris à Marseille en bécane, je m'arrête dans un bistrot quelquepart en Auvergne, je ne sais plus où exactement.

Je gare la moto, je rentre et je découvre la salle, assez profonde peuplée d'un peu de gens . Au fond de la salle, tout le mur du fond est une grande baie vitrée donnant sur le chaine des volcans, vue époustouflante qui permettait de voir vraiment très loin.

J'admire, puis un type vient faire la même chose à côté de moi.... silence.... Je finis par lui parler: "On voit vraiment très loin, vous savez à combien on voit?" (question sans intérêt mais ça permet d'entamer la conversation).... la réponse est venue aussitôt:
"Ben on voit .... à perte de vue".....

Discrètement mort de rire, je suis reparti m'assoir pour déguster mon DEMI (1/2)

Autre chose maintenant... toujours du aux Anglais:

Vous l’avez sûrement déjà remarqué : les bouteilles de vin font 75 centilitres et non un litre. D’où vient cette exception ? La contenance de la bouteille de vin a été standardisée au XIXe siècle et depuis les théories les plus folles sont nées de cette mesure singulière. Les 75 centilitres correspondraient à :



La capacité pulmonaire d’un souffleur de verre

La consommation moyenne lors d’un repas

Une meilleure façon de conserver le vin (le vin premier prix est lui vendu dans des bouteilles en plastique d’un litre)

Une facilité de transport.

En réalité, aucune de ces théories n’est vraie, et encore moins dans la législation française ou européenne (qui, depuis la directive de 2007, autorise 8 volumes différents de 100 ml à 1,5 litre). Il s’agit simplement d’une organisation pratique et historique. A cette époque, les principaux clients des agriculteurs viticoles français étaient les Anglais. Mais nos voisins britanniques n’ont jamais eu le même système de mesure que nous. Leur unité appelé « gallon impérial » valait précisément 4, 54609 litres.
Une simplification mais pas seulement

Pour éviter un casse-tête dans la conversion, ils transportaient le Bordeaux en barriques de 225 litres, soit 50 gallons, en arrondissant. Et 225 litres correspondent à 300 bouteilles de 75 centilitres. Or 300 est un chiffre plus aisé pour faire des calculs que 225. On avait donc : 1 barrique, 50 gallons, 300 bouteilles. Ainsi un gallon valait 6 bouteilles. C’est d’ailleurs pourquoi, aujourd’hui encore, les caisses de vin sont la plupart du temps vendues par 6 ou 12 bouteilles.

Quelqu'un a entendu parlé de cette théorie inquiétante????

Maintenant que tu le dis....c'est curieux qu'au pays basque le verre par excellence pour le vin soit le txikito de 250 ml et le zurito de 150 ml, c'est a dire, une bouteille de 750 ml font 5 zuritos ou 3 txikitos!

Une coupe du vin c'est de 125 ml et pour tant une bouteille sont 6 coupes du vin.

Et voilà.... encore une insomnie en perspective....

Merci les gars

L'importance pour la flottabilite des bateaux du deplacement et sa relation avec le tonnage, tonnes et tonneaux, sans oublier l'importance des tonneaux pour la cargaison dans la cale des anciens bateaux a bois et voiles, le gout pour le vin d'un pays dans une ile sans vignes pour faire tres profitable un commerce maritime, la manque du vin français, italien et espagnol pour anciennes guerres entre eux et le vin d'Oporto de son allié portugais qui vieillissait son vin dans tonneaux de 550 l, la compétition commerciale entre producteurs du vin pour avoir acces au marche anglais en temps de paix, l'importance de faire plaisir a l'importateur de grandes quantités du vin pour faire des bons affaires, les taxes d'importation de la métropole aux colonies, l'importance de fixer taxes au petit commerce au détail pour l'usager final d'un état indépendant, la réglementation dans la loi séché américaine pour les bouteilles de liqueur et d'alcool avec un fin médicinal et les postérieures et plus actuelles normes d'embouteillage pour fixer les taxes alcooliques dans les Etats Unis et les envies des producteurs du vin de la CEE pour faire plaisir aux Etats Unis et a l’Angleterre comme grandes acheteurs de vin.

Oui, tu as raison, c'est tellement comme tu dis, un pays qui a eu pendent siècles une grande flotte de bateaux avec un déplacent en tonnes de tonneaux par tonnage de chargement et qui est un grand acheteur du vin, ce pays peut imposer aux producteurs et aux vendeurs du vin leurs mesures volumétriques et toutes les fractions de leurs tonneaux pour lui faciliter le transport. C'est le langage de l'argent et des affaires!

PS: Un bon cadeaux de ma part pour un ami anglais serait une bouteille de Jerez ou de Rioja et de ta part de Champagne ou de Bordeaux.

Pour toi je penserai plus sur une bouteille d'huile d'olive presse en froid et pour moi de ta part un bon pot de moutarde.

Comme toi j'aime le bon vin, mais on apprécie plus ce qu'on na pas.

Pense a ça et prends ta pilule et au sac!

Buenas Noches

Pachi, tu as raison. C'est souvent celui qui vend pour la première fois qui fixe les règles.

Mais pour le Jerez, que tu m'as offert une fois, j'avoue que je ne me soucie pas plus que ça
de la contenance. Par contre, le contenu focalise toute mon attention...

Je ne viendrai plus ici , j'ai la migraine ....

Elmo, il te reste du Gardénal , pour garnir ma pinte ????

C'est normal Zerton.

Il ne s'agit pas d'un Jerez normal, c'est un "Palo Cortado" qui vieillise 5 ans en barriques de chêne américain que consolide une combinaision entre la concentration par l’oxydation, qui donne une belle complexité aromatique des saveurs grillées et rôties, avec une finale presque sans trace perceptible de sucre qui rappel un lointain écho de miel de foret.

PS: dans mon cas c'est cet explendide vin blanc douce que j'ai mal a boire parce que je ne trouve jamais un momet assez trascendental comme pour ouvrir la bouteille

Pachi a écrit : ↑19 mars 2018, 21:19 Le thème est intéressant.

Dans l'Espagne profonde il y a une mesure de longitude que toujours m’énerve quand on demande au moitie de la campagne aux paysans par la distance d'un endroit et toujours me réponds "a tiro de piedra" (a un coup de pierre qu'en français serait a "a deux pas").

Hola Pachi
En France, c'est: "A un jet de pierre"

En rentrant du Maroc, je suis allé au carnaval de Càdiz, et j'ai acheté, dans ma bodega préférée de Puerto Santa Maria, chez Obregon, de la Manzanilla, de l'Amontillado viejo, du Fino de ramas, de l'Oloroso. Une dizaine de litres en tout. J'ai fini la dernière goutte hier soir...je n'ai plus qu'à y retourner!
PS: je n'ai pas bu tout ça tout seul, ce vin est très apprécié...

Merci michevincent.

Il a plusieures tehories sur l'origine des deus expressions.

Ce que je prefere c'est son origin romain par les milliares roamains en pierre poses chaque mille pas ou double pas

D'etre comme ça l'expresion a jet de pierre ou a deux pas c'est un archaisme que veut dire a mille pas de distance

Pfft vieilli en fut de chene americain
Y a que le chene de la foret de tronçais

Pachi a écrit : ↑20 mars 2018, 10:30 Merci michevincent.

Il a plusieures tehories sur l'origine des deus expressions.

Ce que je prefere c'est son origin romain par les milliares roamains en pierre poses chaque mille pas ou double pas

D'etre comme ça l'expresion a jet de pierre ou a deux pas c'est un archaisme que veut dire a mille pas de distance

Je pense que l'expression française veut dire "à la distance moyenne où on peut jeter une pierre". Mais il y a bien un prof de lettres qui va nous expliquer ça?

Et pour quoi ce distance toujours est si loin ?

Parce que nos ancêtre étaient à la fois plus grands, et plus téméraires ...et je cite mes sources :

1. C'était hier, samedi, jour de paye,
Et le soleil se levait sur nos fronts
J'avais déjà vidé plus d'un' bouteille,
Si bien qu' j'm'avais jamais trouvé si rond
V'là la bourgeois' qui rappliqu' devant l' zingue:
"Feignant, qu'ell' dit, t'as donc lâché l' turbin?"
"Oui, que j' réponds, car je vais au métingue,
Au grand métingu' du métropolitain!"

2. Les citoyens, dans un élan sublime,
Etaient venus guidés par la raison
A la porte, on donnait vingt-cinq centimes
Pour soutenir les grèves de Vierzon
Bref à part quatr' municipaux qui chlinguent
Et trois sergents déguisés en pékins,
J'ai jamais vu de plus chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain!

3. Y avait Basly, le mineur indomptable,
Camélinat, l'orgueille du pays


Ils sont grimpés tous deux sur une table,
Pour mettre la question sur le tapis
Mais, tout à coup, on entend du bastringue;
C'est un mouchard qui veut fair' le malin!
Il est venu pour troubler le métingue,
Le grand métingu' du métropolitain!

4. Moi j' tomb' dessus, et pendant qu'il proteste,
D'un grand coup d' poing, j'y renfonc' son chapeau.
Il déguerpit sans demander son reste,
En faisant signe aux quatr' municipaux
A la faveur de c'que j'étais brind'zingue
On m'a conduit jusqu'au poste voisin
Et c'est comm' ça qu'a fini le métingue,
Le grand métingu' du métropolitain!

Morale:

Peuple français, la Bastille est détruite,
Et y a z'encor des cachots pour tes fils!..
Souviens-toi des géants de quarante-huite
Qu'étaient plus grands qu' ceuss' d'au jour d'aujourd'hui
Car c'est toujours l' pauvre ouverrier qui trinque,
Mêm' qu'on le fourre au violon pour un rien,
C'était tout d' même un bien chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain!