Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
.....
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !
Vous roulez à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus. (Non .... (les écueils inconnus c'est généralement pour moi

) hmmmm......voyons voir.....
"Heurtant de vos culs morts des nids d' poule imprévus".... voilà c'est mieux
Oh ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve,
Sont morts en attendant tous les jours sur la grève
Ceux qui ne sont pas revenus !
On s'entretient de vous parfois dans les veillées.
Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées,
Mêle encor quelque temps vos noms d'ombre couverts
Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures,
Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures,
.......
Extrait d' Oceano Nox (V. Hugo).
Bon OK, vous êtes pas marins.... mais presque