Par experience, le moment où de souvent on doit faire une manœuvre d’urgence sans temps de penser dans un long voyage calme que pendant longtemps à peine nous avons eu besoin de changer de vitesse et le pilotage se réduit à la poignée du gas, c'est très, très rock & roll!
En général nos motos ont un bon couple moteur qui nous permet rouler la plus part du temps en directe. Sur la RE de 1937, la petite Ducati avec ses 5 vitesses pour échelonner plus le couple et aussi avant sur ma Montesa Impala 2T (boîte a droite première en bas le reste en haut), je dois changer de vitesse toujours pour ne perdre pas son faible couple moteur, ce qui me refraichit la mémoire et je n’ai aucun problème dans un moment d’urgence, au contraire de la Commando 750 ou la BMW 1000 ou de parfois j’ai roulé pendant longtemps sans toucher les vitesses ce qui me fait tomber dans une sorte de torpeur ou de relax inquiétant. Sur les autres motos je n’ai jamais eu ce sorte de problème, seulement sur la HD 1340, la BMW 1000 et la Commando 750. De même je n’ai pas eu ce problème sur une Kawa GPZ 400 ou sur une BMW R45, dont moteur était très juste ce qui n’obligeait à changer de vitesses de temps en temps pour aborder à la plus moindre et courte pente et de même pour rouler contre le vent.
Le cas c’est que mes amis me dissent que je pilote d’une manière très étrange et que j’ai le vice de changer trop, sans en avoir besoin, de vitesses…, bon, sûrement je l’en fais pour rafraîchir la mémoire et pour le peur que toujours j’en ai de m’oublier de quelle côté se place la boîte.
PS: je n’oublie jamais l’expérience de m’avoir glisse sous le ventre d’un camion. Quand je suis été retourné chez moi par l’assurance un jour après de l’accident, un bon ami, un vieux renard des MC HD, m’a forcé à aller avec lui sur la Ducati pour faire un long voyage en me disant qu’il avait vu à plusieurs copains qu’après d’avoir eu un accident comme le mien ont quitté la moto, et que le seul remède c’était prende la moto avec les blessures fraîches…., et bon, il en avait raison et je continue sur une moto et encore je trouve le plaisir de me déplacer seul sur la route, mais encore me reste le mauvais souvenir mais sans exagérer donc j’avais eu la chance de pouvoir me lever de mon propre pied, contusionne et avec quelques points de suture.